đŸ· Chers Voisins PropretĂ© Affiche Respect Des Parties Communes

Apartir de cette page, vous pouvez accĂ©der Ă  la liste de l'ensemble des bĂ©nĂ©ficiaires français de la Politique Agricole Commune (PAC). Ce service a pour finalitĂ© l’information du public conformĂ©ment Ă  la rĂ©glementation europĂ©enne en vigueur. En application du rĂšglement europĂ©en (UE) n° 1306/2013 du Parlement europĂ©en et du Lespersonnes ayant des difficultĂ©s Ă  se plier Ă  cet exercice apprĂ©cieront davantage le scĂ©nario imaginĂ© par la startup britannique Urban Electric Networks. La borne UEone 7 Lesparties privĂ©es sont exclusivement rĂ©servĂ©es aux copropriĂ©taires et le nettoyage des parties communes est Ă  la charge de l’ensemble des occupants. Cette activitĂ© a une double importance : elle permet de garantir une meilleure image de la copropriĂ©tĂ© et assure l’ hygiĂšne et la sĂ©curitĂ© de l’ensemble des habitants de l’immeuble. Danstoute correspondance administrative ou officielle nĂ©cessitant un ton sĂ©rieux et solennel, on optera pour les formules classiques consacrĂ©es : "Je vous prie d'agrĂ©er, Madame, mes salutations distinguĂ©es." "Je vous prie d'agrĂ©er, Monsieur, l'expression de mes sentiments distinguĂ©s." PubliĂ©ele 18/08/2022. (212 avis) 75 900 € 769 €/mÂČ. Maison 98,74 mÂČ. 6 piĂšces - 4 chambres - ter. 18 045 mÂČ. Lhomme (72340) L'agence Nestenn Montval-sur-Loir propose un ensemble immobilier Ă  rĂ©nover situĂ© en campagne Ă  Lhomme (72340), Ă  seulement 5 minutes de La Chartre-sur-le-Loir (72340), petit village touristique de la vallĂ©e RĂšglesĂ  respecter pour l'installation d'une clĂŽture. Pour installer une clĂŽture, il est nĂ©cessaire de respecter une certaine distance vis-Ă -vis d'un terrain voisin ou d'une voie publique. Une hauteur maximale de clĂŽture peut Ă©galement vous ĂȘtre imposĂ©e tout comme l' utilisation de matĂ©riaux spĂ©cifiques ou le choix d'une couleur. Commentles paiements qui nous sont adressĂ©s affectent l'ordre d'affichage des prix. Les types de chambre peuvent varier. HĂŽtels proches. Tout compris. Globales Palmanova Palace. Voir l'hĂŽtel . 1 439 avis. 0,2 km de Globales Palmanova. Piscine . Restaurant . Tout compris. 2022. Hotel Agua Beach. Voir l'hĂŽtel . 805 avis. 0,2 km de Globales Palmanova. Wi-Fi Moij'ai 2 solutions pacifiques _ 1) le seau d'eau _ 2 ) je mets mes Ă©pluchures d'orange ou de clĂ©mentine , mandarine dans les secteurs oĂč il passe ! ça sent bon et c'est Ă©colo Nous on aime l'odeur , le chat n'a pas le mĂȘme avis. Commenter. 23. Afficher toute la discussion. RĂ©pondre Posez votre question. Logement Le Fram RĂ©sidence Club San Nicolao 3* dispose de 250 appartements dans 9 bĂątiments sur 3 Ă©tages. Appartement 2 piĂšces 4 personnes (35 mÂČ) : - 1 chambre avec 1 lit double - SĂ©jour avec banquette-lit gigogne 2 places. - Kitchenette Ă©quipĂ©e (micro-ondes, rĂ©frigĂ©rateur, plaque de cuisson, cafetiĂšre filtre). 1– VĂ©rifiez Ă  ce que la tenue de l'AG soit incluse dans le forfait de base. Il faut savoir que de nombreux syndics enfreignent la rĂšgle en surfacturant les AG qui se tiennent en dehors des heures ouvrablesUne pratique pour gonfler la facture. Donc, veillez Ă  ce que la tenue de l'AG soit intĂ©grĂ©e dans la gestion courante. Avoirdes parties communes d'immeuble ou de copropriĂ©tĂ© propre est primordial pour les rĂ©sidents. Cela aura une incidence directe sur le confort et la qualitĂ© de vie des occupants. Elle permet Ă©galement de rĂ©duire les risques pour la santĂ© et donne une image positive du lieu de vie. Les syndicats le savent bien, avoir une copropriĂ©tĂ© entretenue permet de valoriser la propriĂ©tĂ© Selonl'article R325-47 du Code la Route, si un vĂ©hicule stationne sur votre propriĂ©tĂ© il est possible de formuler une demande d'enlĂšvement Ă  l'officier de police judiciaire compĂ©tent. Si c'est votre voisin qui stationne sur votre terrain, vous connaissez son identitĂ© et son adresse. Il est alors possible de lui adresser en prioritĂ© une Vouspouvez rĂ©aliser librement des travaux dans votre logement s'ils n'impactent pas les parties communes, ni l'aspect extĂ©rieur de l'immeuble. S'il y a un impact, l'accord des copropriĂ©taires PrĂ©sentel'Ă©diteur de logiciels de gestion, comptabilitĂ© et paye Ă  destination des PME, PMI te TPE. Àl’exception des rĂšgles d’ordre public et sous rĂ©serve du cas particulier des rĂšgles relatives Ă  l’aspect extĂ©rieur des constructions, les dispositions du RNU ne s’appliquent qu’en l’absence de Plan Local d’Urbanisme (PLU) ou d’un document d’urbanisme en tenant lieu, comme un Plan d’Occupation des Sols (POS – article R.111-1 du code de l’urbanisme). 9zGG. Cadastre, bornage et querelle de voisins les limites de votre propriĂ©tĂ© ‱ OĂč trouver l’information? Votre titre de propriĂ©tĂ© indique, en gĂ©nĂ©ral, les numĂ©ros de parcelles du cadastre. Or, le cadastre est un document fiscal et non foncier. Il a deux fonctions fixer la base de calcul des taxes fonciĂšres et identifier les parcelles et leurs propriĂ©taires pour suivre les ventes successives. Il ne garantit ni les limites de la propriĂ©tĂ© ni la superficie du terrain. De plus, il est imprĂ©cis l’échelle utilisĂ©e est au 1 milliĂšme 1cm sur le papier correspond Ă  10m sur le terrain et peut entraĂźner des erreurs de 40 Ă  50cm. Seul le bornage fixe, de façon dĂ©finitive et prĂ©cise, les limites qui sĂ©parent deux propriĂ©tĂ©s privĂ©es. ‱ Est-ce possible de s’arranger entre voisins? Oui, en thĂ©orie. Deux propriĂ©taires voisins peuvent dĂ©cider de dĂ©finir les limites de leurs propriĂ©tĂ©s et de les marquer par des bornes ou une clĂŽture. Ils ont intĂ©rĂȘt Ă  formaliser leur accord par Ă©crit, plan Ă  l’appui, et Ă  dĂ©poser le tout chez le notaire. Celui-ci se chargera de la publication du bornage au service de publicitĂ© fonciĂšre. Par la suite, le document sera joint Ă  toute vente et transaction. En pratique, le bornage amiable est le plus souvent confiĂ© Ă  un gĂ©omĂštre-expert, seul professionnel habilitĂ© Ă  le faire. Seuls des propriĂ©taires peuvent le dĂ©clencher la procĂ©dure n’est pas ouverte aux locataires.Soit c’est vous ou votre voisin qui en faites la demande. Dans ce cas, l’article 646 du Code civil prĂ©voit que les frais sont Ă  partager, mais, le plus souvent, celui qui a demandĂ© le bornage le paie. Soit vous vous mettez d’accord ensemble pour le faire rĂ©aliser. Dans cette hypothĂšse, le coĂ»t est en gĂ©nĂ©ral partagĂ©. ‱ Bornage obligatoire La loi SRU du 13 dĂ©cembre 2000 a rendu le bornage obligatoire pour les terrains divisĂ©s en lots lotissements et dans les zones d’amĂ©nagement concertĂ© ZAC. Elle a imposĂ©, pour l’achat d’un terrain Ă  construire dans des zones autres, de mentionner dans l’acte de vente si un bornage a Ă©tĂ© ou non effectuĂ©. ‱ Que faire en cas de litige? Si l’un des propriĂ©taires n’est ni prĂ©sent ni reprĂ©sentĂ© lors de la premiĂšre convocation, ou s’il refuse de signer le procĂšs-verbal PV de bornage, le gĂ©omĂštre Ă©tablit un PV de carence. Un exemplaire est adressĂ© Ă  chacun des propriĂ©taires. En cas de dĂ©saccord, avant de saisir la justice, il est nĂ©cessaire de rechercher l’accord amiable en s’adressant Ă  un conciliateur de justice procĂ©dure gratuite, Ă  un mĂ©diateur ou Ă  un avocat pour organiser une procĂ©dure participative. Ces deux derniĂšres voies sont cas d’échec, vous pouvez saisir le tribunal judiciaire du lieu du terrain. L’assistance d’un avocat n’est pas obligatoire. Le juge nommera un gĂ©omĂštre-expert. À partir de son rapport, celui-ci Ă©tablira la limite des terrains et fixera la rĂ©partition des frais de bornage entre les propriĂ©taires. ‱ Est-il possible de faire un bornage si un terrain appartient Ă  la commune? Si le terrain qui jouxte votre propriĂ©tĂ© appartient Ă  une collectivitĂ© territoriale commune, dĂ©partement
 ou Ă  l’État, il faut distinguer ce qui relĂšve du domaine privĂ© et du domaine public. S’inscrivent dans cette derniĂšre catĂ©gorie, les terrains et bĂątiments affectĂ©s Ă  l’usage du public rue, jardin public
 ou Ă  l’exercice d’un service public mairie, Ă©cole
.Pour ces derniers, la procĂ©dure du bornage ne s’applique pas. La limite peut faire l’objet d’un arrĂȘtĂ© de dĂ©limitation ou d’alignement, qu’on peut contester devant le tribunal administratif. À dĂ©faut, le gĂ©omĂštre-expert peut effectuer les dĂ©marches nĂ©cessaires auprĂšs de l’autoritĂ© administrative compĂ©tente par exemple, la mairie pour que les limites de propriĂ©tĂ© soient juridiquement Ă©tablies. Tous les autres biens terrains lĂ©guĂ©s Ă  la commune ou chemins ruraux, par exemple relĂšvent du domaine privĂ©. Pour eux, le bornage avec un gĂ©omĂštre-expert est possible. ‱ Que se passe-t-il si une parcelle ne figure pas au cadastre et si le propriĂ©taire ne peut ĂȘtre identifiĂ©? Cette situation est plus courante que l’on peut se l’imaginer. Ne sont pas cadastrĂ©es les zones qui ne comptent pas pour Ă©tablir le montant des impĂŽts fonciers voies et chemins, parties de propriĂ©tĂ© qui se trouvent dans les lits des riviĂšres, par autant, le propriĂ©taire d’un terrain voisin peut avoir besoin de savoir Ă  qui appartient un chemin pour dĂ©terminer qui doit l’entretenir ou l’emprunter un chemin communal est ouvert Ă  tous, pas un chemin privĂ©. La mairie tient un registre des voies qui lui appartiennent. En l’interrogeant, vous saurez si le terrain en cause est du domaine public ou non. Pour un terrain privĂ© chemins, parcelles, il est nĂ©cessaire de retrouver le propriĂ©taire. Le cadastre peut ne pas vous donner la parcelles de terrain ont pu ĂȘtre vendues entre deux particuliers sans passer devant notaire ni enregistrement au cadastre. Lors d’une succession, une parcelle a pu ĂȘtre oubliĂ©e. Le propriĂ©taire indiquĂ© au cadastre peut ĂȘtre dĂ©cĂ©dé Il faut alors mener l’enquĂȘte et remonter le temps pour dĂ©couvrir le propriĂ©taire. Vous pouvez confier cette mission Ă  un gĂ©omĂštre-expert aucun service de la mairie ne pourra vous rĂ©pondre. Le bien, enfin, peut ne plus avoir de propriĂ©taire du tout. La commune peut rĂ©cupĂ©rer ces parcelles qu’elle est libre, ensuite, de cĂ©der ou de garder. ‱ Le bornage est impossible si
 - la ligne qui sĂ©pare les propriĂ©tĂ©s est occupĂ©e par un bĂątiment;- les deux terrains ne sont pas accolĂ©s une rue les sĂ©pare
;- un bornage a dĂ©jĂ  eu lieu;- les deux terrains appartiennent au mĂȘme propriĂ©taire;- le terrain voisin appartient au domaine public. ‱ CoĂ»t du bornage Le gĂ©omĂštre-expert n’a pas de barĂšme pour ïŹxer ses honoraires. Le coĂ»t d’un bornage varie en fonction de la rĂ©gion, du nombre de propriĂ©taires impliquĂ©s, de la surface et des difficultĂ©s de rĂ©alisation de l’opĂ©ration. Le devis vous informera. Par exemple, il faut compter 1400€ pour un bornage entre deux propriĂ©tĂ©s dans le Val-d’Oise. Comment obliger mon voisin Ă  nettoyer son terrain? Le terrain bordant ma propriĂ©tĂ© est en friche avec des herbes atteignant deux mĂštres de haut serpents et rats arrivent jusque chez moi. J’ai adressĂ© un recommandĂ© au propriĂ©taire, sans succĂšs. Comment obtenir gain de cause? Philippe T. par La rĂ©daction vous rĂ©pondDemandez par recommandĂ© au maire de votre commune d’intervenir, en faisant valoir la prĂ©sence Ă  proximitĂ© de votre habitation d’animaux nuisibles et et le risque d’incendie dĂ» Ă  ce manque d’entretien. Il peut mettre en demeure le propriĂ©taire de nettoyer son terrain dans un certain dĂ©lai. Si cela n’est pas suivi d’effet, il peut ensuite ordonner le dĂ©broussaillage d’office aux frais du propriĂ©taire art. L 2212-1 et L 2213-25 du code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales. Dans le mĂȘme temps, mettez-vous en en contact avec un conciliateur de justice auprĂšs du tribunal d’instance dont vous dĂ©pendez, pour qu’il contacte le propriĂ©taire. Le cas Ă©chĂ©ant, tournez-vous vers ce tribunal pour mettre en cause le propriĂ©taire, qui pourra ĂȘtre condamnĂ© Ă  dĂ©broussailler, voire Ă  vous payer des dommages et intĂ©rĂȘts pour le trouble subi. À lire aussi Que faire si vos voisins vident leurs gouttiĂšres dans votre jardin? La qualitĂ© de la vie dĂ©pend de la bonne volontĂ© de chacun. L’observation de quelques rĂšgles permettra Ă  chacun de se sentir bien dans son logement et dans son environnement
 Evitez l'excĂšs de bruit La rĂšglementation interdit les bruits occasionnant un trouble anormal » de voisinage. Par leur intensitĂ©, leur durĂ©e ou leur caractĂšre rĂ©pĂ©titif, ces bruits gĂȘnent le repos et la tranquillitĂ© des occupants d’un immeuble. Cette rĂšglementation s’applique 24 heures sur 24. De plus, l’Article du Code pĂ©nal rĂ©prime le tapage nocturne. Les sources de bruit sont nombreuses ; rappelez-vous que la vie en communautĂ© suppose une tolĂ©rance entre voisins et que chacun peut ĂȘtre tour Ă  tour gĂȘnĂ© » et gĂȘneur ». Faites particuliĂšrement attention aux sources de bruit qui causent le plus frĂ©quemment des troubles de voisinage - Radio, tĂ©lĂ©vision, chaĂźne stĂ©rĂ©o Ă  volume trop Ă©levĂ©, - Travaux d’amĂ©nagement, bricolage faisant appel Ă  des marteaux, perceuses, etc. - Bruit doccupation divers claquements de portes et de talons, battements de fenĂȘtres ou de volets mal fermĂ©s, - Interpellations, cris, jeux d’enfants, - Animaux laissĂ©s seuls, - Machines Ă  laver nocturnes. N'encombrez pas les parties communes Avec vĂ©los, poussettes, poubelles. Renseignez-vous auprĂšs du syndic s’il existe un local prĂ©vu Ă  cet effet ; Ă©vitez de salir et d’abĂźmer, et apprenez aux enfants, dĂšs leur plus jeune Ăąge, Ă  respecter de la mĂȘme façon leur logement et leur environnement. L’utilisation des parties communes est encadrĂ©e par le rĂšglement de copropriĂ©tĂ©, votre bail, et les notes affichĂ©es par le syndic. Les ordures mĂ©nagĂšres Elles doivent ĂȘtre dĂ©posĂ©es dans les locaux Ă  cet effet, correctement emballĂ©es. Si vous avez des objets encombrants, il vous appartient de les emmener vous-mĂȘme Ă  la dĂ©chetterie ou de faire appel aux services compĂ©tents de votre Mairie. Les animaux Seuls sont tolĂ©rĂ©s dans les appartements, et ce, en nombre restreint, les animaux dits familiers, Ă  condition qu’ils ne soient en aucune façon une gĂȘne pour les autres occupants de l’immeuble. Dans les parties communes, les chiens doivent ĂȘtre tenus en laisse. En ce qui concerne les chiens dangereux, vous devez respecter la loi du 6 janvier 1999 et vous mettre en conformitĂ© avec ses dispositions. La possession d’animaux dits d’attaque » catĂ©gorie 1 peut ĂȘtre interdite dans les locaux d’habitation. Les chiens de dĂ©fense » catĂ©gorie 2 doivent ĂȘtre muselĂ©s et tenus en laisse par une personne majeure. Tout animal est sous la responsabilitĂ© de son propriĂ©taire qui doit respecter les rĂšgles essentielles de tranquillitĂ© et d’hygiĂšne. En savoir plus sur "les animaux domestiques" Les emplacements de parking Ils sont souvent attribuĂ©s. Merci de les respecter et de les faire respecter. Le code de la route s’applique mĂȘme dans l’enceinte du lotissement ou de la rĂ©sidence. En savoir plus sur "bien vivre ensemble" Suivez l’actualitĂ© immobiliĂšre et rejoignez-nous Un copropriĂ©taire n’est pas en droit de rĂ©aliser des travaux affectant des parties communes, ni, a fortiori, des travaux sur des parties communes, sauf s’il y a Ă©tĂ© autorisĂ© par l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. Ce principe est bien connu. Cependant, en pratique, on constate qu’il n’est pas toujours respectĂ© loin s’en faut et qu’il soulĂšve parfois de sĂ©rieuses difficultĂ©s d’interprĂ©tation. Le principe de l’interdiction, pour tous copropriĂ©taires, de rĂ©aliser des travaux sur les parties communes, sauf autorisation de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale articles 9, 25 et 26 de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 A/ Un copropriĂ©taire n’est pas en droit de rĂ©aliser des travaux "affectant" des parties communes, ni, a fortiori, des travaux "sur" des parties communes article 9 de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 1- L’interdiction de rĂ©aliser des travaux sur les parties communes Aux termes de l’article 9 alinĂ©a 1 de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 Chaque copropriĂ©taire dispose des parties privatives comprises dans son lot ; il use et jouit librement des parties privatives et des parties communes sous la condition de ne porter atteinte ni aux droits des autres copropriĂ©taires ni Ă  la destination de l’immeuble. » Par application de cette disposition d’ordre public, les copropriĂ©taires disposent d’un simple droit d’usage et de jouissance sur les parties communes. Par principe, il est donc interdit aux copropriĂ©taires de rĂ©aliser des travaux sur des parties communes. Le droit de construire sur des parties communes est un droit accessoire aux parties communes au sens de l’article 3 de la loi du 10 juillet 1965, qui appartient au syndicat des copropriĂ©taires 24 mai 2006, Bull. Civ. III, n°134. 2- Le domaine de l’interdiction L’interdiction de rĂ©aliser des travaux sur des parties communes s’applique Ă  tout copropriĂ©taire, y compris au copropriĂ©taire titulaire d’un droit de jouissance exclusive ou droit d’usage privatif ». En effet, les parties communes rĂ©servĂ©es Ă  l’usage exclusif d’un copropriĂ©taire ne constituent pas des parties privatives et restent des parties communes Civ. 3, 22 mai 1972, Bull. Civ. III, n° 359 ; 26 juin 1974, Bull. Civ. III, n°269. Le copropriĂ©taire titulaire d’un simple droit de jouissance exclusive sur des parties communes dispose d’un simple droit d’usage et de jouissance sur ces parties communes et il lui est interdit d’y rĂ©aliser des travaux, sauf, si ce droit lui a Ă©tĂ© confĂ©rĂ© par une rĂ©solution d’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. Civ. 3, 19 dĂ©cembre 1990, JCP N 1990, II, 239 ; Civ. 3, 19 janvier 1994, D. 1994, IR, 47, Civ. 3, 5 octobre 1994, Loyers et copropriĂ©tĂ© 195, n°208, Civ. 3, 4 mai 1995, Loyers et copropriĂ©tĂ© 1995, n°433, 20 mars 2002, III, n°70 En particulier, il n’est pas en droit de rĂ©aliser des travaux d’installation d’un abri de jardin Cour d’appel de PARIS, 8Ăšme Chambre A, 26 juin 2001, Dossier CSAB, n°102, novembre 2002, n°163 ou de couverture d’une terrasse Tribunal de grande instance de PARIS, 7 mai 1980, Dalloz 1981, 210. B/ L’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale peut dĂ©cider d’autoriser un copropriĂ©taire Ă  rĂ©aliser des travaux affectant » les parties communes ou des travaux sur » les parties communes articles 25 et 26 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 1- Il rĂ©sulte des articles 25 et 26 de la loi du 10 juillet 1965 qu’un copropriĂ©taire peut exĂ©cuter des travaux affectant » les parties communes ou sur » des parties communes, s’il a obtenu une autorisation de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. Aux termes de l’article 25 b de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 Ne sont adoptĂ©es qu’à la majoritĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires les dĂ©cisions concernant b L’autorisation donnĂ©e Ă  certains copropriĂ©taires d’effectuer Ă  leurs frais des travaux affectant les parties communes ou l’aspect extĂ©rieur de l’immeuble, et conformes Ă  la destination de celui-ci » Aux termes de l’article 26 de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 Sont prises Ă  la majoritĂ© des membres du syndicat reprĂ©sentant au moins les deux tiers des voix les dĂ©cisions concernant a Les actes d’acquisition immobiliĂšre et les actes de disposition autres que ceux visĂ©s Ă  l’article 25 d ; b La modification, ou Ă©ventuellement l’établissement, du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© dans la mesure oĂč il concerne la jouissance, l’usage et l’administration des parties communes ». Les travaux rĂ©alisĂ©s dans des parties privatives, mais qui affectent » les parties communes relĂšvent de l’article 25 de la loi du 10 juillet 1965. Ils doivent donc ĂȘtre autorisĂ©s par une dĂ©cision d’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale adoptĂ©e Ă  la majoritĂ© des voix de l’ensemble des membres du syndicat des copropriĂ©taires. Il s’agit lĂ  des travaux qui n’impliquent pas une emprise sur les parties communes, mais qui les affectent » dans leur consistance matĂ©rielle ou les modalitĂ©s de leur usage par exemple, des travaux d’évacuation des eaux usĂ©es avec branchement sur les canalisations communes, des travaux de percement ou d’agrandissement des fenĂȘtres ou d’ouverture dans les murs, des amĂ©nagements de combles affectant une toiture relevant des parties communes, voir 20 mai 1998, RD imm, 1998, 419, observations CAPOULADE. Les travaux rĂ©alisĂ©s sur » des parties communes relĂšvent de l’article 26 de la loi du 10 juillet 1965. En effet, ces travaux rĂ©alisent une emprise sur les parties communes et impliquent donc Ă  la fois un acte de disposition concernant les parties communes et le droit de construire sur des parties communes, droit accessoire aux parties communes 1er dĂ©cembre 2000, AJDI, 260, construction d’une piscine, et une modification du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© Civ. 3, 4 novembre 2004, Bull. Civ. III, n°189. Ainsi, l’autorisation d’installer une vĂ©randa, qui s’analyse en un acte de disposition et implique en outre une modification du rĂšglement de copropriĂ©tĂ©, doit ĂȘtre autorisĂ©e par une dĂ©cision d’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale adoptĂ©e Ă  la majoritĂ© de l’article 26 Civ. 3, 20 mars 2002, Bull. Civ. III, n°70. Ces travaux doivent donc ĂȘtre autorisĂ©s par une dĂ©cision d’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale adoptĂ©e Ă  la majoritĂ© des membres du syndicat des copropriĂ©taires reprĂ©sentant au moins les deux tiers des voix. 2- La dĂ©cision autorisant un copropriĂ©taire Ă  rĂ©aliser des travaux sur » ou affectant » des parties communes au sens des articles 25 b et 26 de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 Les articles 25 b et 26 de la loi du 10 juillet 1965 prĂ©voient que l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale a le pouvoir d’autoriser un copropriĂ©taire Ă  rĂ©aliser des travaux sur » ou affectant » des parties communes. Ces dispositions dĂ©rogent au principe d’interdiction de travaux sur des parties communes rĂ©sultant de l’article 9 de la loi du 10 juillet 1965. En consĂ©quence, la jurisprudence les interprĂšte strictement. Ainsi, selon une jurisprudence constante, un copropriĂ©taire n’est pas en droit de rĂ©aliser des travaux affectant » des parties communes, ni, a fortiori, des travaux sur » des parties communes, sauf si ces travaux ont Ă©tĂ© autorisĂ©s par une dĂ©cision expresse de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale a/ Des travaux sur » ou affectant » des parties communes ne peuvent ĂȘtre autorisĂ©s que par une dĂ©cision adoptĂ©e par l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires Un copropriĂ©taire n’est pas en droit de rĂ©aliser des travaux sur » ou affectant » des parties communes, sauf si ces travaux ont Ă©tĂ© autorisĂ©s par une dĂ©cision adoptĂ©e par l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, qui a une compĂ©tence exclusive. Ainsi, des travaux sur » ou affectant » des parties communes ne sauraient ĂȘtre valablement autorisĂ©s par une dĂ©cision du syndic ou du conseil syndical, une dĂ©cision prise collectivement par des copropriĂ©taires non rĂ©unis en assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, ou mĂȘme, par une clause du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© une clause du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© qui autorise par avance un copropriĂ©taire Ă  entreprendre des travaux sans autre formalitĂ© est rĂ©putĂ©e nulle Cass. 3e civ., 2 fĂ©vr. 1999, n° D, Douet c/ Arenzana Juris-Data 1999-000531 ; Loyers et copr. 1999, comm. 110, note G. Vigneron. – Cass. 3e civ., 2 oct. 2001, n° F-D, Bur c/ StĂ© Brasserie Georges V Juris-Data n° 2001-011205 ; 2002, comm. 36, 1re esp., note D. Sizaire. Par ailleurs, il importe peu que des travaux, rĂ©alisĂ©s sans autorisation expresse de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, aient fait l’objet d’un permis de construire et qu’ils soient conformes Ă  ce permis de construire Civ. 3, 5 Octobre 2010, JurisData 2010-017991. b/ La dĂ©cision autorisation ne peut rĂ©sulter que d’une dĂ©cision expresse En application des articles 25, b et 26 de la loi du 10 juillet 1965, l’autorisation de rĂ©aliser des travaux sur » ou affectant » des parties communes ne peut rĂ©sulter que d’une dĂ©cision expresse de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. DĂšs lors, un copropriĂ©taire n’est pas en droit de rĂ©aliser ces travaux, sauf s’ils ont Ă©tĂ© expressĂ©ment autorisĂ©s par une dĂ©cision d’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. Civ. 3, 5 Octobre 2010, JurisData 2010-017991 ; Civ. 3, 12 mai 1993 Loyers et copr. 1993, comm. 281 ; CA Paris, 20 mars 2008 Inf. rap. copr. mai 2009, p. 16 ; 17 janv. 2007 JCP G 2007, IV, 136 ; 28 mars 2007 JurisData 2007-038300 ; Loyers et copr. 2007, comm. 136 ; AJDI 2007, p. 574 L’autorisation de rĂ©aliser des travaux sur » ou affectant » des parties communes ne saurait rĂ©sulter d’une dĂ©cision implicite. En particulier, une dĂ©cision autorisant un copropriĂ©taire Ă  rĂ©aliser des travaux sur » ou affectant » les parties communes n’autorise pas ce copropriĂ©taire Ă  rĂ©aliser des travaux non expressĂ©ment autorisĂ©s. Ainsi, une dĂ©cision d’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale autorisant un copropriĂ©taire Ă  rĂ©aliser la rĂ©fection d’une toiture » et la crĂ©ation d’une terrasse privative » n’autorise pas ce copropriĂ©taire Ă  rĂ©aliser des travaux non conformes aux travaux expressĂ©ment autorisĂ©s, et, notamment des travaux de surĂ©lĂ©vation de toiture impliquant une extension de surface habitable, la crĂ©ation de terrasses privatives autres que la terrasse visĂ©e par la dĂ©cision d’autorisation. Ce copropriĂ©taire n’est pas en droit de surĂ©lever la toiture de l’immeuble et d’augmenter la surface habitable de son appartement, en l’absence de dĂ©cision autorisant expressĂ©ment ces travaux Civ. 3, 5 Octobre 2010, JurisData 2010-017991. La Cour de cassation interprĂšte strictement ce principe. Il importe peu que des travaux non conformes Ă  des travaux expressĂ©ment autorisĂ©s par une assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale se limitent Ă  de simples amĂ©nagements techniques, mĂȘme devenus nĂ©cessaires aprĂšs la dĂ©cision d’autorisation. Ainsi, une autorisation de travaux d’amĂ©nagement d’un conduit d’air permettant l’exploitation d’une laverie automatique dans un local commercial dĂ©pourvu d’évacuation appropriĂ©e n’autorise pas l’installation d’une canalisation d’évacuation des eaux usĂ©es. Ces installations n’étant pas conformes aux travaux expressĂ©ment autorisĂ©s, il importe peu qu’elles se limitent Ă  des amĂ©nagements techniques devenus nĂ©cessaires pour l’exploitation normale d’un commerce. DĂšs lors, doit ĂȘtre cassĂ© l’arrĂȘt qui retient que en autorisant les travaux d’amĂ©nagement d’un conduit d’air permettant l’exploitation d’une laverie automatique » dans un local commercial dĂ©pourvu d’évacuation appropriĂ©e, l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale avait implicitement autorisĂ© des travaux d’installation d’une canalisation d’évacuation des eaux usĂ©es d’une blanchisserie pour se raccorder au rĂ©seau commun de l’immeuble, alors mĂȘme que ces amĂ©nagements n’étaient pas mentionnĂ©s expressĂ©ment par cette rĂ©solution, au motif qu’il s’agissait d’amĂ©nagements techniques devenus nĂ©cessaires ultĂ©rieurement pour l’exploitation normale d’un commerce. 28 mars 2007, JurisData 2007-038300 ; Loyers et copr. 2007, comm. 136 ; AJDI 2007, p. 574 en statuant ainsi, alors que l’autorisation accordĂ©e Ă  un copropriĂ©taire d’effectuer Ă  ses frais des travaux affectant les parties communes, qui ne peut ĂȘtre implicite, doit ĂȘtre donnĂ©e par une dĂ©cision de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires, la cour d’appel a violĂ© l’article 25 de la loi du 10 juillet 1965 En outre, il importe peu que les copropriĂ©taires n’aient pas manifestĂ© une opposition aux travaux rĂ©alisĂ©s par un copropriĂ©taire sur des parties communes. En effet, une dĂ©cision d’autorisation de travaux ne saurait rĂ©sulter d’une autorisation implicite » tirĂ©e d’une absence de contestation des copropriĂ©taires. Une autorisation de rĂ©aliser des travaux de surĂ©lĂ©vation de toiture impliquant une augmentation de la surface habitable » ne saurait rĂ©sulter de l’absence de contestation, par les copropriĂ©taires, de travaux non conformes Ă  des travaux autorisĂ©s par une prĂ©cĂ©dente dĂ©cision d’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. A cet Ă©gard, il importe peu que d’une part, les copropriĂ©taires aient Ă©tĂ© informĂ©s par la communication de plans d’architecte Ă  l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale et par l’affichage d’un permis de construire du projet du copropriĂ©taire de rĂ©aliser des ouvrages non conformes Ă  des travaux prĂ©cĂ©demment autorisĂ©s par une dĂ©cision d’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, d’autre part, lors des assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales ayant suivi la rĂ©alisation des travaux, les copropriĂ©taires n’aient manifestĂ© aucune opposition ni, aux travaux non conformes aux travaux autorisĂ©s, ni mĂȘme, Ă  l’exĂ©cution d’une dĂ©cision de modification du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© qui accompagnait la dĂ©cision d’autorisation de travaux dĂ©cision de modification de l’état descriptif de division. Civ. 3, 5 Octobre 2010, JurisData 2010-017991 C/ La sanction des travaux rĂ©alisĂ©s sans autorisation sur les parties communes Selon une jurisprudence constante, il rĂ©sulte des articles 25 et 26 de la loi du 10 juillet 1965 qu’un copropriĂ©taire doit ĂȘtre condamnĂ© Ă  dĂ©molir tous travaux non autorisĂ©s par une dĂ©cision expresse de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, et, notamment, tous travaux non conformes Ă  des travaux expressĂ©ment autorisĂ©s par une dĂ©cision d’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. Civ. 3, 5 Octobre 2010, JurisData 2010-017991 ; Civ..3, 27 janvier 2009, n°07-15993 AJDI 2009, 309 ; CA Paris, 20 mars 2008 Inf. rap. copr. mai 2009, p. 16 ; 17 janv. 2007 JCP G 2007, IV, 136 ; 28 mars 2007 JurisData 2007-038300 ; Loyers et copr. 2007, comm. 136 ; AJDI 2007, p. 574 ; 12 mai 1993 Loyers et copr. 1993, comm. 281 ; Cour d’appel PARIS, Chambre 23 section B, 8 Octobre 1993, JurisData 1993-022839 ; Civ. 3, 7 mars 1990, Loyers et copropriĂ©tĂ© 1990, n°233 La construction rĂ©alisĂ©e par un copropriĂ©taire sur des parties communes ayant dĂ©passĂ© le volume autorisĂ© par l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, il s’ensuit qu’il y a lieu de procĂ©der Ă  sa dĂ©molition Cour d’appel PARIS, Chambre 23, section B, 8 Octobre 1993, JurisData 1993-022839 La sanction des travaux non autorisĂ©s est la remise des lieux dans leur Ă©tat antĂ©rieur 18 mars 1980, JCP G 1980, IV, n°214, et ce, sous astreinte Cour d’appel de PARIS, 23Ăšme Chambre B, 7 juin 2001, Loyers et copropriĂ©tĂ© 2001, com. n°303. DĂšs lors, viole l’article 25 de la loi du 10 juillet 1965, l’arrĂȘt qui refuse d’ordonner la dĂ©molition de travaux de surĂ©lĂ©vation non conformes aux travaux expressĂ©ment autorisĂ©s par l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale Civ. 3, 5 Octobre 2010, JurisData 2010-017991. Nicolas PILLON, Avocat au Barreau de PARIS chez

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